Quand tu dis "solutions en ligne", tu penses Ă quoi exactement ? đ€ Y a tellement de plateformes qui proposent des trucs, certaines plus fiables que d'autres... Et pour quel type d'entreprise, aussi ? Parce qu'une micro-entreprise et une SASU, c'est pas vraiment le mĂȘme chantier, si tu vois ce que je veux dire... đ
Commentaires (20)
Perso, j'ai tendance à préférer le tout en ligne. Moins de paperasse qui s'entasse et on peut faire ça à n'importe quelle heure. C'est un peu comme choisir entre un bon vieux tournevis et une visseuse électrique, tu vois ? Bon ok, mauvais exemple, vu que je suis un peu un geek de la domotique et que je préfÚre toujours la visseuse... Pour revenir au sujet, l'aspect financier est à prendre en compte, c'est sûr. Mais le temps gagné, ça compte aussi énormément.
Quand tu dis "solutions en ligne", tu penses Ă quoi exactement ? đ€ Y a tellement de plateformes qui proposent des trucs, certaines plus fiables que d'autres... Et pour quel type d'entreprise, aussi ? Parce qu'une micro-entreprise et une SASU, c'est pas vraiment le mĂȘme chantier, si tu vois ce que je veux dire... đ
En fait, je pensais surtout aux plateformes officielles type celle de l'URSSAF ou Infogreffe, ou mĂȘme le site de l'INPI pour les marques. C'est sĂ»r que pour une micro, c'est peut-ĂȘtre un peu overkill, mais pour une SASU ou une EURL, ça me semble une option Ă considĂ©rer. Apres, si vous avez des retours sur des plateformes privĂ©es, je suis preneuse aussi, histoire de comparer.
Si tu veux mon avis (et mĂȘme si tu ne le veux pas, d'ailleurs đ), le mieux c'est peut-ĂȘtre de mixer les deux, non ? Genre, tu prĂ©pares tout en ligne (quelle que soit la plateforme, d'ailleurs, fais ton comparatif avant), et tu vas valider le truc en physique au guichet. Ca permet de gagner du temps sur la paperasse (parce que bon, soyons honnĂȘtes, le papier, c'est dĂ©passĂ©), mais t'as le contact humain si jamais il y a un truc qui te chiffonne. Un peu comme quand t'achĂštes une plante : tu la commandes en ligne, mais tu vas la chercher en pĂ©piniĂšre pour ĂȘtre sĂ»r qu'elle a pas trop souffert pendant le transport. C'est ma mĂ©thode pour tout, et bizarrement, ca marche toujours. AprĂšs, c'est toi qui voit, hein. Moi, je ne fais que donner des idĂ©es, je suis un peu le Pinterest de l'entrepreneuriat, quoi.
Merci Bernard pour cette approche hybride, j'avoue que je n'y avais pas pensé ! L'image de la plante est top, je visualise bien le truc. Je vais creuser cette piste.
L'approche hybride mentionnĂ©e par Bernard et que Jing Liu trouve intĂ©ressante me semble une excellente voie Ă explorer, surtout si on considĂšre les donnĂ©es que tu as partagĂ©es, Phoenix58. Si on prend l'exemple du Guichet Unique de l'INPI, c'est indĂ©niablement un point centralisateur depuis 2023, ce qui simplifie grandement les dĂ©marches administratives initiales. C'est un atout non nĂ©gligeable, surtout quand on se lance. L'accessibilitĂ© centralisĂ©e est un gros plus. Mais, il faut avouer que des plateformes comme Legalstart offrent un accompagnement personnalisĂ© qui peut faire la diffĂ©rence, surtout pour ceux qui ne sont pas familiers avec les mĂ©andres administratifs. C'est un peu comme avoir un coach dĂ©diĂ© qui vous guide pas Ă pas. L'INPI a l'avantage d'ĂȘtre gratuit (hormis les frais lĂ©gaux classiques, Ă©videmment), ce qui est un argument de poids pour dĂ©marrer avec un budget limitĂ©. C'est un peu le "do it yourself" de la crĂ©ation d'entreprise. Cependant, il faut ĂȘtre prĂȘt Ă y consacrer du temps et Ă se dĂ©brouiller seul. Legalstart, par contre, est payant, mais l'investissement peut se justifier si on valorise le gain de temps et la tranquillitĂ© d'esprit. Au final, je pense que le choix entre ces options dĂ©pend vraiment des besoins de chacun en termes d'autonomie et de budget. Si on est Ă l'aise avec les dĂ©marches administratives et qu'on a du temps Ă y consacrer, l'INPI est une excellente option. Si on prĂ©fĂšre un accompagnement plus personnalisĂ© et qu'on est prĂȘt Ă y mettre le prix, Legalstart (ou les alternatives que tu cites, LegalPlace, Dougs, Keobiz, Indy) peuvent ĂȘtre une bonne solution. L'idĂ©e de Bernard de prĂ©parer le dossier en ligne et de le valider physiquement au guichet peut ĂȘtre un bon compromis pour bĂ©nĂ©ficier des avantages des deux approches. Tout dĂ©pend du niveau de stress que l'on peut supporter...
Tu dis que pour une micro, les plateformes officielles sont peut-ĂȘtre "overkill". Mais en quoi exactement ? C'est plus compliquĂ©, plus long, ou juste pas adaptĂ© ? Je me demande si ça vaut quand mĂȘme le coup de jeter un oeil, mĂȘme si c'est juste pour se familiariser avec les dĂ©marches.
Overkill dans le sens oĂč les plateformes type INPI demandent pas mal d'infos et de dĂ©tails qui sont peut-ĂȘtre pas nĂ©cessaires pour une micro-entreprise. C'est pas forcĂ©ment plus compliquĂ©, mais c'est ptet un peu longuet pour qqch de simple. Mais comme tu dis, CreativLab16, ça peut valoir le coup d'y faire un tour pour voir ce que ça demande, au moins tu seras fixĂ©. Y'a pas de mal Ă se renseigner, au contraire.
Je suis d'accord avec Phoenix58, se renseigner, c'est jamais perdu. Autant faire le tour des options et voir ce qui correspond le mieux. Moi, dans mon boulot, j'ai toujours prĂ©fĂ©rĂ© avoir plusieurs devis avant de me dĂ©cider, mĂȘme si au final je retournais vers le premier. Au moins, je savais pourquoi je le choisissais. C'est pareil pour les dĂ©marches administratives, faut voir ça comme un investissement, mĂȘme si c'est du temps qu'on y passe.
Si jamais l'INPI te parait trop usine Ă gaz (ce que je peux comprendre), pense aux Chambres de Commerce et d'Industrie (CCI). Ils proposent des accompagnements, parfois gratuits, et sont vachement pĂ©dagogues. C'est moins "officiel" que l'INPI, mais pour se faire la main, c'est pas mal du tout. Et au moins, tu peux poser tes questions en direct Ă quelqu'un qui connait le terrain. Bon, aprĂšs, faut pas se leurrer, ils vont essayer de te vendre des trucs, mais tu peux toujours dire non. C'est comme chez Leroy Merlin, tu vas pour une vis, tu repars avec un barbecue, mais c'est toi qui dĂ©cides, hein. đ
Les CCI, c'est pas mal, c'est sĂ»r. Mais attention quand mĂȘme, c'est trĂšs variable d'une rĂ©gion Ă l'autre. đŹ J'ai des collĂšgues qui ont eu des super expĂ©riences, d'autres beaucoup moins... Faut bien se renseigner sur la qualitĂ© de l'accompagnement avant de se lancer, c'est un peu la loterie parfois. đČ
C'est clair que la qualité des CCI peut varier, c'est un peu comme les garages, quoi... Tu peux tomber sur un mécano au top ou un charlatan. Un autre truc à surveiller avec les CCI, c'est leur spécialisation. Certaines sont plus axées sur le commerce, d'autres sur l'industrie, etc. Donc, si t'as un projet trÚs spécifique, faut voir si la CCI locale a l'expertise nécessaire. C'est comme choisir un avocat, tu vas pas prendre un spécialiste du droit de la famille pour un litige commercial...
C'est un bon point, DataCue23. Les spĂ©cialisations des CCI, c'est un truc auquel on ne pense pas forcĂ©ment au dĂ©but. J'ajouterais que les chambres des mĂ©tiers et de l'artisanat (CMA) peuvent ĂȘtre une alternative intĂ©ressante si on est dans un domaine artisanal. Elles sont souvent plus pointues sur les questions spĂ©cifiques Ă ces mĂ©tiers. C'est un peu comme comparer un gĂ©nĂ©raliste et un spĂ©cialiste, quoi. Bref, bien se renseigner, c'est la clĂ©.
Bon, si je rĂ©capĂ©pĂšte un peu pour ceux qui dĂ©barquent, on a pas mal explorĂ© le truc, hein. L'idĂ©e de dĂ©part, c'est de choisir entre le guichet unique et les solutions en ligne pour crĂ©er sa boĂźte. Quazar est plutĂŽt pour le online, plus rapide et moins de paperasse. ToitureMan soulĂšve la question des plateformes, et Phoenix58 prĂ©cise qu'elle pense aux plateformes officielles. Bernard propose une approche hybride (prĂ©parer en ligne et valider au guichet), ce que Jing Liu trouve pertinent. DataCue23 dĂ©taille les avantages et inconvĂ©nients de l'INPI et de Legalstart, en soulignant que le choix dĂ©pend des besoins et du budget. CreativLab16 s'interroge sur l'intĂ©rĂȘt des plateformes officielles pour une micro, et Phoenix58 explique que c'est peut-ĂȘtre un peu "overkill". Perso, je trouve que se renseigner est toujours utile. Bernard suggĂšre les CCI, mais je (cactus30) nuance en disant que la qualitĂ© varie selon les rĂ©gions. DataCue23 ajoute que les CCI ont des spĂ©cialisations, et Jing Liu parle des chambres des mĂ©tiers pour l'artisanat. En gros, faut bien se renseigner avant de se lancer, quoi.
Je valide tout ce rĂ©cap'. Et vu qu'on est dans le bĂątiment, autant vous dire que les chambres des mĂ©tiers, pour un artisan, c'est le top du top niveau conseils ! Faut pas hĂ©siter Ă pousser leur porte, mĂȘme si on a l'impression de dĂ©ranger.
Tiens, en parlant de spécialiste, j'ai un pote qui a monté sa boßte de domotique. Autant vous dire que le gars est pointu sur les nouvelles normes électriques. Bref, pour revenir au sujet, c'est bien de rappeler que les CMA existent. C'est vrai qu'on a vite fait de les oublier quand on pense "entreprise" en général. Elles sont souvent bien plus adaptées que les CCI pour les artisans.
Ah ben tiens, StellaNova68, tu me donnes une idĂ©e lumineuse (sans mauvais jeu de mots, hein !) avec ton pote domoticien. C'est vrai qu'on pense pas assez aux boĂźtes de conseils spĂ©cialisĂ©s. Puisqu'on parle de normes Ă©lectriques, figurez-vous que j'ai bossĂ© sur un projet de dĂ©cor vĂ©gĂ©tal pour un salon de l'habitat connectĂ© l'an dernier. Un truc de dingue, avec des murs vĂ©gĂ©taux interactifs et des Ă©clairages pilotĂ©s par smartphone. Le client voulait absolument un truc "waouh", et on a pas Ă©tĂ© déçus du rĂ©sultat. Le truc, c'est que j'ai failli me faire allumer par l'organisme de contrĂŽle (Consuel, si ça vous parle) parce que j'avais un peu trop jouĂ© avec les cĂąbles et les prises. Heureusement que j'avais un Ă©lectricien super compĂ©tent dans mon Ă©quipe, sinon c'Ă©tait la cata. Comme quoi, mĂȘme quand on fait du "joli", faut pas nĂ©gliger le cĂŽtĂ© "technique". Alors, pour revenir Ă nos moutons (ou plutĂŽt, Ă nos entreprises), je pense que l'idĂ©e des chambres des mĂ©tiers, c'est top, surtout pour les artisans qui dĂ©butent. Mais si vous avez un projet un peu pointu, n'hĂ©sitez pas Ă faire appel Ă des experts dans votre domaine. Ăa coĂ»te peut-ĂȘtre un peu plus cher, mais au moins, vous ĂȘtes sĂ»rs de pas faire de bĂȘtises. Et puis, comme disait ma grand-mĂšre, "mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir" (mĂȘme si elle parlait plutĂŽt de rhumes que de crĂ©ation d'entreprise, mais le principe est le mĂȘme, quoi). Et puis, tant qu'Ă faire, autant viser l'excellence dĂšs le dĂ©part. On dit souvent que les premiĂšres impressions sont les plus importantes, alors autant mettre toutes les chances de son cĂŽtĂ©. Ah oui, et pour la petite histoire, j'ai failli appeler ma boĂźte "Bernard et ses Plantes", mais ma femme a dit que ça faisait trop "magasin de fleurs". Du coup, j'ai optĂ© pour un truc plus sobre, mais je garde l'idĂ©e sous le coude pour un projet futur... On ne sait jamais, hein. đ
Bernard, ton histoire de dĂ©cor vĂ©gĂ©tal qui a failli mal tourner, c'est exactement le genre de truc auquel on ne pense pas assez quand on se lance ! đł C'est pour ça que les experts sont importants. Et "Bernard et ses Plantes", c'est trĂšs bien comme nom, ta femme a tort ! đ±đ
L'anecdote de Bernard avec le Consuel me rappelle une expérience similaire dans un autre contexte. On a vite fait de se laisser emporter par la vision globale sans anticiper les contraintes techniques ou réglementaires. C'est là que l'expertise prend tout son sens, et souvent, ça vaut l'investissement initial pour éviter des complications coûteuses par la suite.
C'est exactement ça, DataCue23 ! On a vite tendance Ă se concentrer sur la toiture, la charpente, l'esthĂ©tique, sans penser aux fondations... ou plutĂŽt, aux normes et aux rĂ©glementations. đ Et pour complĂ©ter ton point, et celui de Bernard, je dirais qu'il faut aussi considĂ©rer l'assurance dĂ©cennale. C'est un peu comme la garantie constructeur sur une bagnole : ça coĂ»te bonbon au dĂ©part, mais si t'as un pĂ©pin, t'es bien content de l'avoir. Surtout dans le bĂątiment, oĂč un dĂ©faut de construction peut coĂ»ter une fortune en rĂ©paration. đ° Si on parle de budget, c'est un poste Ă ne surtout pas nĂ©gliger. En moyenne, une assurance dĂ©cennale pour un artisan couvreur (comme moi, quoi), ça peut aller de 1 500 Ă 4 000 euros par an, selon le chiffre d'affaires, l'expĂ©rience et les garanties choisies. C'est une somme, mais c'est le prix de la tranquillitĂ©. đ Et puis, autre truc auquel on ne pense pas forcĂ©ment : la formation. Les mĂ©tiers du bĂątiment, ça Ă©volue vite, avec de nouvelles techniques, de nouveaux matĂ©riaux, de nouvelles normes... Si tu veux rester compĂ©titif, faut se former rĂ©guliĂšrement. Et ça aussi, ça a un coĂ»t. Une formation de perfectionnement en techniques de couverture, ça peut coĂ»ter entre 500 et 2 000 euros, selon la durĂ©e et le niveau de spĂ©cialisation. Mais c'est un investissement sur le long terme. đ Donc, si je devais rĂ©sumer, pour crĂ©er son entreprise dans le bĂątiment, faut pas juste penser au guichet unique ou aux solutions en ligne. Faut aussi penser Ă l'assurance, Ă la formation, et Ă tous ces petits dĂ©tails qui font la diffĂ©rence entre une entreprise qui dure et une entreprise qui fait faillite au bout de deux ans. đ