Si tu as vraiment flashé sur la maison, tu peux toujours tenter une offre supplétive. Ça montre ta motivation, et parfois, les premières offres tombent à l'eau (financement refusé, découverte de vices cachés lors de l'inspection...). Ça ne coûte rien d'essayer, et qui sait, ça pourrait marcher.
StellaNova68 a raison, tenter une offre supplétive, c'est comme jouer un tour de trompette en sourdine : ça peut surprendre agréablement.
Dans mon boulot, j'en vois des situations cocasses. Des toits qui s'effondrent après une inspection trop rapide, des acheteurs qui se rétractent parce qu'ils ont découvert que la "vueimprenable" donnait en fait sur un élevage de poulets... Bref, tant que le compromis n'est pas signé, tout est possible.
Et puis, faut pas se leurrer, le marché de l'immobilier, c'est parfois un peu le Far West. T'as beau penser avoir toutes les cartes en main, un imprévu peut toujours arriver. D'ailleurs, en parlant de cartes, je me souviens d'une étude (désolé, j'ai plus les chiffres exacts en tête, faudrait que je retrouve ça), qui montrait qu'environ 15% des offres acceptées finissent par capoter pour diverses raisons. Alors, garde espoir !
Si vraiment cette maison te hante, creuse un peu. Essaye de savoir pourquoi ton offre n'a pas été retenue. Est-ce une question de prix ? De conditions suspensives trop contraignantes ? Parfois, les vendeurs privilégient la simplicité à l'offre la plus élevée. J'ai vu un cas où le vendeur a préféré une offre légèrement inférieure, mais sans condition de vente de son propre bien, parce qu'il voulait en finir rapidement. Le délai de rétractation, c'est une sorte de joker dans ce jeu-là, une chance de se raviser pour l'acheteur comme pour le vendeur.
Et si ça ne marche pas, dis-toi que ce n'était peut-être pas la maison de tes rêves, mais juste un mirage. Y'en aura d'autres, des maisons, et peut-être même une avec un toit en meilleur état (clin d'oeil de couvreur oblige !).
Merci pour vos retours et vos conseils ! C'est vrai que l'offre supplétive est une option à considérer sérieusement. Je vais me renseigner davantage sur les raisons du refus et voir si ça vaut la peine de tenter le coup. On ne sait jamais, comme vous dites !
Je suis tombé sur cette vidéo qui explique pourquoi refuser la première offre peut être une erreur, ça rejoint un peu ce que disait ToitureMan sur les imprévus et les complications potentielles.
https://www.youtube.com/watch?v=dQw4w9WgXcQ[/video] Ça peut donner un autre angle de vue pour CraftMinds90.
C'est intéréssant cette vidéo, mais je pense que ça dépend vraiment du contexte. Dans un marché très tendu, refuser d'emblée la première offre peut se comprendre si on pense qu'il y a anguille sous roche ou si elle est vraiment trop basse. Mais c'est sûr que ça peut aussi être une stratégie risquée si le vendeur surestime l'attractivité de son bien. Au final, je crois qu'il n'y a pas de règle absolue.
Je suis d'accord qu'il n'y a pas de règle absolue, mais la vidéo me paraît un peu trop générale. Elle ne prend pas en compte les spécificités locales du marché. Par exemple, ici, dans ma région, c'est plutôt un marché d'acheteurs, donc refuser la première offre, même si elle est un peu en dessous du prix, c'est prendre le risque de ne pas vendre du tout. C'est un calcul à faire.
Commentaires (7)
Si tu as vraiment flashé sur la maison, tu peux toujours tenter une offre supplétive. Ça montre ta motivation, et parfois, les premières offres tombent à l'eau (financement refusé, découverte de vices cachés lors de l'inspection...). Ça ne coûte rien d'essayer, et qui sait, ça pourrait marcher.
StellaNova68 a raison, tenter une offre supplétive, c'est comme jouer un tour de trompette en sourdine : ça peut surprendre agréablement. Dans mon boulot, j'en vois des situations cocasses. Des toits qui s'effondrent après une inspection trop rapide, des acheteurs qui se rétractent parce qu'ils ont découvert que la "vueimprenable" donnait en fait sur un élevage de poulets... Bref, tant que le compromis n'est pas signé, tout est possible. Et puis, faut pas se leurrer, le marché de l'immobilier, c'est parfois un peu le Far West. T'as beau penser avoir toutes les cartes en main, un imprévu peut toujours arriver. D'ailleurs, en parlant de cartes, je me souviens d'une étude (désolé, j'ai plus les chiffres exacts en tête, faudrait que je retrouve ça), qui montrait qu'environ 15% des offres acceptées finissent par capoter pour diverses raisons. Alors, garde espoir ! Si vraiment cette maison te hante, creuse un peu. Essaye de savoir pourquoi ton offre n'a pas été retenue. Est-ce une question de prix ? De conditions suspensives trop contraignantes ? Parfois, les vendeurs privilégient la simplicité à l'offre la plus élevée. J'ai vu un cas où le vendeur a préféré une offre légèrement inférieure, mais sans condition de vente de son propre bien, parce qu'il voulait en finir rapidement. Le délai de rétractation, c'est une sorte de joker dans ce jeu-là, une chance de se raviser pour l'acheteur comme pour le vendeur. Et si ça ne marche pas, dis-toi que ce n'était peut-être pas la maison de tes rêves, mais juste un mirage. Y'en aura d'autres, des maisons, et peut-être même une avec un toit en meilleur état (clin d'oeil de couvreur oblige !).
Merci pour vos retours et vos conseils ! C'est vrai que l'offre supplétive est une option à considérer sérieusement. Je vais me renseigner davantage sur les raisons du refus et voir si ça vaut la peine de tenter le coup. On ne sait jamais, comme vous dites !
Je suis tombé sur cette vidéo qui explique pourquoi refuser la première offre peut être une erreur, ça rejoint un peu ce que disait ToitureMan sur les imprévus et les complications potentielles.
https://www.youtube.com/watch?v=dQw4w9WgXcQ[/video] Ça peut donner un autre angle de vue pour CraftMinds90.
C'est intéréssant cette vidéo, mais je pense que ça dépend vraiment du contexte. Dans un marché très tendu, refuser d'emblée la première offre peut se comprendre si on pense qu'il y a anguille sous roche ou si elle est vraiment trop basse. Mais c'est sûr que ça peut aussi être une stratégie risquée si le vendeur surestime l'attractivité de son bien. Au final, je crois qu'il n'y a pas de règle absolue.
Je suis d'accord qu'il n'y a pas de règle absolue, mais la vidéo me paraît un peu trop générale. Elle ne prend pas en compte les spécificités locales du marché. Par exemple, ici, dans ma région, c'est plutôt un marché d'acheteurs, donc refuser la première offre, même si elle est un peu en dessous du prix, c'est prendre le risque de ne pas vendre du tout. C'est un calcul à faire.
Tout à fait. Marché local, spécificités locales... Il faut étudier la conjoncture avec attention, et ne pas se fier aux "conseils" trop généraux.